Un BUC est aussi une partie d’arbre mort dans laquel se sont installés des abeilles.
« D’après J.Courrent, la ruche est appelée BUC, de Toulouse à la mer.
« Buc» est apparu après l’installation des Wisigoths. L’orthographe de « buga » (rucher) est bugar, bugat ou bugalh (avec des nuances de sens), en Terre d’Aude. Le mot bugar, qui désignait « un gros rucher » (probablement du seigneur civil ou religieux, à l’origine, à l’époque de la féodalité et des droits d’abeillage et d’épaves) n’est plus utilisé depuis que la production de sucre à bon marché a réduit l’importance de l’élevage des abeilles (probablement deuxième moitié du XIXe siècle).
Actuellement, les vieux apiculteurs ne disent plus que « ai bucs » (« Vau ai bucs » ou « Vau a las abelhas« ).
Le nom BUC pourrait également dériver du latin buscum, le buis.
Le BUC était un hameau important, bien avant le développement de Marssac sur Tarn et de Florentin. L’oratoire actuellement présent sur le site fut édifié en face de la chapelle du hameau, démolie pendant la révolution.